Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Le gouvernement s’attaque à la violence scolaire

12/04/2010 12:15

Le gouvernement s’attaque à la violence scolaire


Jeudi, Luc Châtel a clôturé les états généraux sur la sécurité à l’école par une série de propositions. Si le ministre de l’éducation répond à un vrai problème de société, avec la montée de faits divers plus révoltants les uns que les autres, ses propositions ne sont pas vraiment à la hauteur.
Un problème capital
Le problème de la violence scolaire est absolument capital pour la société, à double titre. Elle illustre à la fois un problème criant d’intégration et de décrochage scolaire, mais aussi un manque de respect inquiétant pour une institution de la République. Comment espérer en effet que les personnes qui ne respectent pas l’autorité à l’école respectent ensuite l’autorité de l’Etat ? S’il est très important que les élèves prennent confiance en eux et puissent s’épanouir, il est tout aussi important qu’ils apprennent que vivre en société impose des limites qu’il ne faut pas dépasser.
Et c’est justement tout le problème de la situation actuelle. Trop souvent, les dérapages des élèves sont « excusés » par les malheurs de la société, et trop rarement sanctionnés. Il est évident que grandir dans des quartiers où 40% des jeunes sont au chômage ou dans un système scolaire où l’on ne trouve pas sa place est un facteur contributeur à la violence, mais cela n’excuse en rien les comportements violents. Une grande majorité des jeunes de quartiers difficiles viennent à l’école pour apprendre et se comportent de manière civilisée. Malheureusement, des exceptions pourrissent le système.
La violence à l’école est une calamité pour la société. Une calamité pour les professeurs qui se trouvent parfois confrontés à des conditions de travail épouvantables, qui ne leur permettent pas d’enseigner sereinement et qui en poussent de plus en plus à démissionner. C’est une calamité pour les élèves studieux dont le travail est perturbé et ralenti par le désordre. Enfin, c’est une calamité pour ces sauvageons qui n’apprennent pas à respecter des limites dans leur jeunesse par manque de sanctions, prélude à des comportements encore plus violents dans le futur.
Des solutions décevantes
Luc Ferry disait fort justement sur Canal Plus cette semaine qu’il est important de permettre à un maximum d’élèves de s’épanouir et que l’échec scolaire est un puissant facteur contributif à la violence. Des actions de long terme doivent être menées pour améliorer l’orientation et revaloriser certaines filières (notamment professionnelles) pour permettre à chacun de trouver sa voie. Xavier Darcos a eu raison de multiplier les heures de soutien aux élèves en difficulté car il est important de lutter contre le décrochage des élèves en difficulté. Les études montrent la pertinence de cette mesure.
En revanche, l’arsenal répressif est mal pensé. Entre vidéosurveillance et suppression des allocations familiales, l’Etat semble surtout vouloir se décharger de sa responsabilité. Si les parents ont une grande responsabilité dans l’éducation de leurs enfants, le manque de discipline n’est pas leur responsabilité exclusive, comme semble le suggérer cette mesure. L’absence de sanction adéquate au sein des établissements scolaires est également une cause essentielle. Trop souvent les élèves indisciplinés ou manquants de respect à l’égard de leurs professeurs ne sont pas sanctionnés.
Pour le coup, il faudrait instaurer une véritable tolérance zéro contre les mauvais comportements des élèves pour leur faire comprendre que la vie en société impose certaines limites. Car ne pas sanctionner les petits écarts revient à les accepter et entraîne irrémédiablement des écarts plus graves. Mieux que des heures de colle, des sanctions éducatives (petits travaux d’intérêt général) peuvent être envisagés. Enfin, il ne faudrait pas hésiter à retirer les éléments les plus perturbateurs pour les mettre dans des établissements spécialisés (éventuellement à encadrement militaire) pour les remettre sur le droit chemin.
Si Luc Châtel a eu raison de convoquer ces états généraux, les conclusions ne sont malheureusement pas du tout à la hauteur des enjeux du développement de la violence scolaire, malgré la recrudescence de faits divers qui devraient appeler à une véritable prise de conscience.
Laurent Pinsolle





Emplois : de sombres perspectives

12/04/2010 12:04

Emplois : de sombres perspectives


La Région Nord / Pas de Calais continue à perdre des emplois. Selon l’analyse, très minorée, du Pôle emploi, 5216 emplois salariés ont été supprimés au troisième trimestre 2009 :

 

-         3557 pour le département du Nord

 

-         1659 pour le département du Pas de Calais

 

 

Les zones Flandres – Lys (-405 emplois), Béthune – Bruay (-776 emplois) sont les plus touchées par cette hémorragie. La zone Lens – Hénin bien que stabilisée à également souffert d’un déficit d’emplois durant les trois premiers trimestres 2009. Seul la zone de Douai semble s’en tirer avec une progression de + 1% (+ 356 emplois). En clair, cela ne nous promet guère de beaux jours sur le front de l’emploi, déjà bien atteint par la récession. Cela, quoi qu’en disent ces chers élus du Conseils Régional (FN inclus, bien entendu).

 

 

Le comité de la 14ème circonscription

 






Condoléances

11/04/2010 18:45

Condoléances


DLR14ème circonscription du Pas de Calais s'associe à la douleur du peuple polonais suite à la perte tragique de son chef d'Etat et de ses principaux collaborateur. Nous lui assurons, ainsi qu'à la diaspora polonaise et aux descendants d'immigrés polonais (nombreux dans notre région), tous notre soutien.

Le comité de circonscription 






Dupont-Aignan veut interdire aux exilés fiscaux de bénéficier de la Sécu

08/04/2010 20:54

Dupont-Aignan veut interdire aux exilés fiscaux de bénéficier de la Sécu


06/04/2010 21h58 GMT - FISCALITÉ-PARTIS-DLR-SOCIAL - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 6 avril 2010 (AFP) - Le président de Debout la République, Nicolas Dupont-Aignan, a estimé mardi soir qu’il fallait interdire aux exilés fiscaux de bénéficier du système de protection sociale français.
Invité de "Politiquement parlant" sur Direct 8, il a demandé que "les exilés fiscaux ne puissent plus venir se faire soigner en France gratuitement".
M. Dupont-Aignan a jugé ainsi "révoltant" que "toutes ces personnes qui vivent à Bruxelles, qui ne payent pas d’impôts, viennent à la Pitié-Salpétrière dans les meilleurs services de chirurgie cardiaque gratuitement".
"Il y a un moment", a-t-il poursuivi, "où il faut que les Français sachent qu’il n’y a pas deux poids deux mesures".
"Ceux qui veulent partir à l’étranger placer leur argent à l’étranger (...) il faut qu’ils assument leur choix mais ils ne viennent pas profiter de la sécurité sociale française le lendemain", a conclu le député.





La monnaie commune, avant qu’il ne soit trop tard...

08/04/2010 20:43

La monnaie commune, avant qu’il ne soit trop tard...


Nous publions ici la version longue du point de vue de NDA et Jean-Pierre Gérard, publié quelques jours avant la Convention nationale de Debout la République sur le plein emploi.
Euro : instaurer la monnaie commune ou… s’exposer à la révolution !
La Tribune, mercredi 7 avril 2010
Evanouis les discours sur le prétendu « euro-bouclier-à-la-crise » !
Même Jacques Attali l’affirme désormais : « la zone euro peut exploser. » C’est précisément le constat fait par tout ceux qui, noyés dans le mépris de la pensée unique, tirent la sonnette d’alarme sur les vices de construction de l’euro, depuis sa création.
La promesse des promoteurs de l’euro était l’avènement d’une nouvelle ère de prospérité. Leur pari était, en mettant par ruse la charrue avant les bœufs, de provoquer une union politique européenne à partir d’une union monétaire et économique. Mais ils ont perdu sur tous les tableaux. Donnant raison malgré eux aux accents prophétiques du Discours pour la France prononcé par Philippe Séguin en 1992, ils se trouvent aujourd’hui placés dans une redoutable impasse.
La croissance ? Conjuguée à des conceptions dogmatiques de la concurrence et du libre échange, la monnaie unique, conçue et gérée pour un modèle économique allemand qui n’est pas exportable, étrangle la plupart des pays européens. La cause en est la politique monétaire (taux de change et taux d’intérêts) suivie par la BCE. En effet, les exportations en dehors de l’Union Européenne sont pénalisées par la surévaluation chronique de l’euro, dont les économistes estiment le cours « normal » entre 1,05 et 1,1 dollar. En outre, la crise a bien montré que la monnaie unique ne nous protégeait de rien puisque la zone euro est entrée en récession avant les Etats-Unis et plus fortement, ce qui est pour le moins paradoxal quand on sait d’où la crise est partie et sachant que les marchés immobiliers Français, Allemand et Italien ont bien résisté…
La France, comme l’Italie, paie son appartenance à cet euro-mark depuis le traité de Maastricht en perte de compétitivité, en désindustrialisation, en délocalisations et en chômage structurel. Cela, sans même avoir permis d’assainir ses finances publiques, puisque l’euro a permis d’accumuler des montagnes de déficit et de dettes sans exposer les gouvernements qui s’y sont adonnés à la punition des dévaluations contraintes.
L’approfondissement de l’intégration européenne ? Il s’est fracassé contre le mur des réalités nationales, à mesure qu’on resserrait le cadre institutionnel de traités délirants. Décevant les espoirs des partisans de la monnaie unique, les économies des pays membres se sont même mises à diverger entre elles à partir de l’entrée en vigueur de l’euro, en 1999, démontrant combien il est irréaliste et dangereux de nier la réalité des nations, qui se venge au centuple lorsqu’on la brutalise.
Le résultat de cette construction européenne n’est pas reluisant : une économie en berne, une désespérance sociale croissante, des institutions encore plus inaudibles et incapables de prendre les décisions nécessaires, en dépit d’un traité de Lisbonne dont on nous promettait monts et merveilles il n’y a pas deux ans… Quant à l’avenir, il reste bouché : des pays au bord de la banqueroute, de la révolte sociale, et une zone euro menacée d’éclatement.
Le temps presse : Athènes continue d’être le maillon faible d’un jeu de dominos qui ne demande qu’à déferler, risquant d’entraîner des pays à la situation également intenable mais au poids bien plus important que la Grèce - cet arbre qui cache la forêt. Pour la simple raison qu’aucune politique de rigueur ne peut réussir si l’on ne renforce pas la compétitivité du pays concerné par la dévaluation. C’est l’évidence, ainsi que le montre, par exemple, la Grande-Bretagne, qui a dévalué la livre d’un tiers de sa valeur et dont l’industrie a commencé à redémarrer. Sauf peut-être à se résoudre à transformer les Grecs, les Espagnols, les Italiens et les autres en assistés quasi-éternels de l’Allemagne... Mais Angela Merkel vient de refuser net cette perspective, acceptant même l’éclatement de la zone euro ! A l’heure où les opinions publiques grecque et allemande s’invectivent ouvertement, les uns proposant de vendre le Parthénon, les autres ravivant la question des dommages de guerre aux pays victimes de l’Allemagne nazie, on mesure concrètement en quoi le délire supranational peut conduire à l’inverse même de ce qu’il prône : la résurgence des heurts nationalistes !
Aussi, plutôt que de bluffer comme aujourd’hui, les Européens feraient bien de choisir une voie intelligente entre le tout ou rien, entre le maintien du statu quo actuel au prix de l’explosion sociale, et la disparition de toute monnaie européenne par explosion de l’euro-zone, à laquelle leur acharnement risque bel et bien de mener. Ce point d’équilibre s’appelle la monnaie commune. Une telle issue ne signifierait pas la fin de l’euro comme monnaie de réserve. En 1992, les économistes débattaient de l’opportunité de mettre en place une monnaie unique ou une monnaie commune, arguant que l’Europe n’était pas une zone adaptée au partage d’une seule monnaie. En effet, la zone euro ne constitue pas une « Zone Monétaire Optimale », que ce soit par l’absence de mobilité des travailleurs, le manque de convergence économique ou de budget central.
L’histoire est en train de leur donner raison sous nos yeux : à une monnaie unique impraticable et fabriquant fatalement la désunion de l’Europe, il faut préférer une monnaie commune qui permettra à l’UE à la fois de disposer d’une devise internationale pouvant concurrencer le dollar, et d’un système monétaire souple à l’intérieur duquel les pays membres pourront ajuster leur monnaie nationale rétablie pour favoriser leur croissance. Il faudra bien s’y résoudre : la dévaluation vaut bien mieux que le chômage de masse et l’explosion sociale !
Il ne faut pas laisser passer cette chance : si l’on attend l’explosion de l’euro ou la révolution dans les pays soumis à une austérité intenable, il est malheureusement à craindre que les peuples ne soient plus disposés du tout à maintenir une quelconque coopération monétaire entre eux.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN - Député de l’Essonne - Président du rassemblement gaulliste Debout la République
Jean-Pierre GERARD, Vice-président de Debout la République, ancien membre du Conseil de la politique monétaire, président du Club français des numéros un à l’export.





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